Groupe Aimer Toulouse
Depuis un an, vous payez l’eau la moins chère de France
Le 13 décembre 2018, les élus d’Archipel (l’Opposition d’extrême-gauche) s’opposaient au choix de Toulouse Métropole de confier la gestion de l’eau potable à une entreprise spécialisée. Pourtant, ce choix permettait une nette progression de la qualité de l’eau et de la lutte contre les fuites sur les canalisations. Et, cerise sur le gâteau, en bénéficiant du prix le plus bas de France. Une étude spécialisée l’avait démontré : si la collectivité avait choisi de gérer l’eau elle-même, le prix aurait été nettement supérieur. C’est le choix que défendait Archipel, par simple calcul politique et dogme anti entreprises privées. Aujourd’hui, vous payeriez votre eau presque 20% plus cher ! Depuis l’Opposition cherche à vous cacher cette réalité. Les chiffres restent têtus et le collectif anti entreprises de l’eau qui crie « Eau secours » est obligé de reconnaître lui-même que 2,91€/m3 est non seulement le prix le plus bas de France mais est également réellement appliqué et garanti « au centime près ». C’est une économie importante pour les Toulousains (120€/an en moyenne par foyer par rapport à l’année précédente).
La sécurité des Toulousains au coeur de notre action Pour votre sécurité, nous défendons le renforcement des moyens de la Police Municipale.
Pourquoi l’Opposition municipale des « gilets rouges » d’Archipel s’y oppose ? Le citoyen est en droit de s’interroger ! Cette Opposition serait-elle devenue conservatrice ? Elle semble affirmer que seule la Police Nationale suffit à la protection du citoyen toulousain. Tous les procès d’intention sans fondement y passent : désengagement de l’État, transfert de charges déguisé, baisse de financement. Cependant, les besoins de développement des compétences de la Police Municipale sont devenus évidents lorsque l’on écoute les Toulousains. La complémentarité plus équilibrée entre les pouvoirs de la Police Municipale et de la Police Nationale est l’élément essentiel du nécessaire lien entre sécurité et tranquillité. En effet, la Police Municipale par son rôle de proximité est la 1ère à arriver sur les lieux. Aujourd’hui, la Loi ne lui donne pas le pouvoir d’interpeller, de contrôler l’identité… En Conseil municipal du 28 janvier dernier, nous avons proposé au vote un texte en faveur du renforcement de ces pouvoirs. L’Opposition n’en a pas voulu, criant à « l’américanisation de la police municipale ». En particulier parce que nous y demandions, aussi, que la collectivité puisse se retourner contre les propriétaires de terrains qui restent inactifs face à un squat qui « pourrit la vie » des riverains. Enfin, alors que nous venons de doter la Police municipale (déjà armée de révolvers et de pistolets) de « Tasers » (pistolets à impulsion électrique), qu’en a dit l’Opposition ? S’en est-elle réjouit ? Pas du tout ! « Évitez de les utiliser avec moi », a indiqué Odile Maurin, élue Archipel ! C’est cela, la seule préoccupation des élus de l’Opposition ? Eux-mêmes, et pas les Toulousains ? Leurs personnes sont-elles « sacrées », comme le dit de lui-même leur ami politique Jean- Luc Mélenchon ? Comme souvent, là encore l’Opposition a un temps idéologique de retard ; comme à l’époque où elle s’opposait aux caméras de vidéoprotection… que vous, les Toulousains, vous plébiscitez largement !
Mix’Arts : la sécurité des personnes avant tout
Lors du Conseil Municipal du 29 janvier dernier, Archipel a combattu la fermeture des locaux de Mix’Art Myrys, collectif culturel, longtemps demeuré dans l’illégalité d’occupations illicites de bâtiments. La réalité est pourtant simple : l’utilisation de ses locaux actuels est dangereuse (stockage de produits inflammables, absence d’alarme incendie, absence de désenfumage du bâtiment, absence de vérification des installations technique…). Ce lieu mettait donc en danger les occupants et les visiteurs. L’Équipe municipale, pénalement responsable en cas d’incident, a pris ses responsabilités : elle l’a fait fermer au public. Or, Mix’Art Myrys a refusé les multiples propositions de rénovation formulées par la collectivité, prétendument « insuffisantes » … mais représentant 3 millions d’argent public ! Les critiques d’« Archipel », préférant fermer les yeux sur le danger de l’occupation actuelle, posent question. Elles interrogent sur l’existence d’un calcul politique commun à nos opposants et aux dirigeants de Mix’Art Myrys. En ce qui nous concerne, nous n’entendons pas politiser ce dossier et, jamais, nous ne transigerons avec la sécurité des Toulousains, qu’ils soient artistes ou non. Jamais !
Les élus de la Majorité municipale Aimer Toulouse