Les conducteurs de deux-roues motorisés et assimilés

À scooter ou à moto, la circulation en ville est plus aisée mais expose les conducteurs à des risques graves vis-à-vis des voitures et des camions. La fluidité ne doit pas se faire au détriment de la sécurité.

Conducteur en véhicule électrique (voiture, vélo, trotinette…), personne ne m’entend arriver. Mal et non-voyants ne me perçoivent même pas du tout.
J’adapte mon allure. J’anticipe les freinages et les arrêts.
En voiture ou à deux-roues motorisés, je ne stationne ni sur les trottoirs, ni sur les emplacements vélos.
Je n’emprunte pas les couloirs de bus
Au feu rouge, automobilistes ou deux-roues n’empiètent pas sur les sas vélo, destinés à rendre visibles les usagers plus vulnérables.
Les personnes en fauteuil roulant électrique peuvent circuler sur la chaussée.

Le cas particulier des speed bikes

Les vélos électriques rapides (speed bikes) vont trop vite (plus de 25 km/h) pour avoir les mêmes règles que les vélos classiques ou même ceux à assistance électrique. De par cette vitesse, les risques sont plus importants. Ainsi, pour garantir une meilleure protection, le port du casque est obligatoire, de même que l’immatriculation. Ces véhicules ont interdiction d’emprunter les aménagements cyclables, au même titre que les deux-roues motorisés (cyclomoteurs, scooters ou motos).

Qui est concerné ?

  • Les motos
  • Les scooters et cyclomoteurs
  • Les speed bikes