Groupe Aimer Toulouse

L’obsession de l’Opposition : combattre notre 3e ligne de métro
Lors du Conseil Municipal du 8 février, les élus toulousains étaient appelés à s’exprimer sur l’enquête publique environnementale de la 3ème ligne de Métro. Une ligne, longue de 27 km, qui reliera, d’un seul tenant, Colomiers à Labège en passant par Blagnac et Toulouse. Desservant 500 000 habitants et 220 000 emplois, cette ligne permettra de supprimer 90 000 déplacements de voitures au quotidien et toute la pollution qui va avec.
Dans un souci d’obtenir plus de clarté et de sincérité de la part des élus de l’Opposition d’extrême gauche sur cette nouvelle ligne de métro, les élus de la Majorité les ont interpelés sur leurs positions et contradictions. Quand la Majorité a interrogé Agathe Roby sur le souhait de l’Opposition de réaliser uniquement une demi-ligne de métro entre Colomiers et Matabiau en excluant tout le Sud-est de Toulouse comme déclaré dans la presse : silence gêné puis dérobades.
Quand la Majorité a interrogé Antoine Maurice pour savoir comment il aurait financé une 3ème ligne de Métro, ainsi que tous ses autres projets de transport pharaoniques annoncés durant sa campagne municipale : silence gêné puis dérobades.
Quand la Majorité a finalement demandé à l’Opposition quels aspects positifs de la 3ème ligne de métro pourraient trouver grâce à leurs yeux : silence gêné puis dérobades.
Quand la Majorité a interrogé les élus d’opposition sur le fond de l’enquête publique environnementale, Odile Maurin, s’appuyant sur des analyses controversées d’associations politisées qui leurs sont proches, a fini par déclarer : « nous ne sommes pas pour votre 3ème ligne de métro ». Enfin la vérité sur ce que pense les écolos-mélenchonistes de cette ligne de métro. Après plusieurs années de cache-cache, l’Opposition commence enfin à assumer être contre la 3ème ligne de métro des Toulousains, contre un projet en faveur de la réduction des émissions de gaz à effet de serre, contre un projet qui facilitera tous les déplacements quotidiens des Toulousains.
Certes, l’ambiguïté, les contradictions et l’hypocrisie de l’Opposition demeurent mais en réalité, ils souhaitent reprendre à zéro toute la procédure et donc anéantir 8 années de travail, ce qui retarderait lourdement l’arrivée de la 3ème ligne de métro à Toulouse de plusieurs années.
L’innovation et le progrès au service d’une écologie pragmatique pour Toulouse
Dès qu’il s’agit de rendre Toulouse + attractive, + novatrice, + connectée, + mobile, les élus écolomélenchonistes disent non !
Neutralité carbone de l’aviation commerciale en 2050 ou encore Ligne à Grande Vitesse (LGV) Bordeaux- Toulouse, voici deux ambitions écologiques pour Toulouse que ces élus refusent de soutenir.
42 pays, dont 27 de l’Union Européenne, et de nombreuses entreprises (dont Airbus, Thales, ATR et Air France) viennent de s’engager à Toulouse pour une neutralité carbone de l’aviation commerciale en 2050. Une décision pragmatique pour l’avenir de l’aéronautique à l’opposé de la vision irréaliste des écologistes qui déclaraient en février 2019, par la voix d’Antoine Maurice, leader écolo de l’Opposition municipale toulousaine, que « l’aéronautique ne peut pas se développer indéfiniment » tandis que la Maire écolo (EELV) de Poitiers disait, en mars 2021, que « l’aérien ne doit plus faire partie des rêves d’enfant ».
À l’heure où Airbus annonce qu'elle va tester un prototype de moteur à hydrogène sur un A380 avec comme objectif de créer le premier avion zéro émission en 2035 rappelons-nous qu’Antoine Maurice affirmait, en mai 2021, que « les industriels sont incapables d’anticiper les mutations de la transition écologique ». À l’heure où 24 collectivités aquitaines et occitanes, aux côtés de l’État et de l’Europe, bouclent le financement à 100% de la Ligne à Grande Vitesse Bordeaux-Toulouse pour un début du chantier en 2024, n’oublions pas non plus que, pour le mentor de l’Opposition municipale toulousaine, Pierre Hurmic, Maire écolo (EELV) de Bordeaux, « la LGV est un sujet emblématique du monde d’hier ».
L’emprisonnement idéologique de ces élus toulousains verts d’extrême gauche les positionne irrémédiablement à contre-courant du progrès écologique.
N’en déplaise à ces élus réfractaires à l’innovation, Antoine Maurice en tête, Toulouse est et sera au rendez-vous du progrès et de l’innovation pour bâtir un avenir écologique et industriel pour Toulouse.
Les élus de la Majorité municipale Aimer Toulouse