Groupe Aimer Toulouse

« Les Verts » : ce à quoi Toulouse a échappé

Ces dernières semaines, les élus écologistes ont encore une fois montré leur vrai visage, celui d’une écologie punitive. Sous prétexte d’une activité sportive qu’il considère polluante, un élu écologiste de Vincennes, visiblement dépassé par le sujet, a refusé de subventionner une activité de bateaux à voiles. Pour lui, le vent est donc relégué au rang des énergies polluantes. Quand les énergies du soleil et de l’eau seront considérées elles aussi comme telles, il ne nous restera plus qu’à revenir à la pierre à feu et au silex. Plus inquiétant, les écologistes s’arrogent le droit de dicter leurs pensées à nos enfants, lorsque la Maire de Poitiers affirme que l’avion ne devrait « plus faire partie des rêves d’enfants ». Voilà l’odieux projet d’endoctrinement qu’espèrent les écolos d’extrême gauche, un vrai cauchemar vert auquel les Toulousains ont échappé. À Toulouse, nous préférons une écologie pragmatique par la plantation de 86 arbres à la Poudrerie, 66 arbres sur le parvis Matabiau, 12 400 arbres et plants sur le domaine de Candie ou encore en soutenant les associations avec la mise à disposition de parcelles à Borderouge et la plantation d’une centaine de plants d’arbres.

Ligne Ferroviaire à Grande Vitesse : Jean-Luc MOUDENC fait bouger l’État

Cette détermination à porter une écologie pragmatique se retrouve dans notre action concrète en faveur du développement des transports non polluants. Alors que l’opposition Archipel qualifiait le projet de LGV de « mirage », la mobilisation de Jean-Luc MOUDENC aux côtés de la Présidente de Région a porté ses fruits avec l’annonce d’un important financement de l’Etat par le Premier Ministre. Avec près de 5000 emplois créés pour le chantier, ce projet ferroviaire, à fort enjeu écologique, favorisera l’implantation de nouvelles entreprises créatrices d’emplois d’autant plus importants pour relancer notre économie durement touchée par la crise Covid. Avec un début du chantier annoncé pour 2024, cette LGV libèrera des axes ferroviaires permettant d’accroitre la circulation des trains du quotidien, ce qui fluidifiera le trafic sur le périphérique en réduisant le nombre de véhicules provenant de l’extérieur de la ville. La LGV offrira ainsi une nouvelle option de mobilité de proximité en complément de l’avion.

L’État plébiscite la 3e ligne de métro

Avec la même détermination, Jean-Luc MOUDENC a obtenu de l’Etat un financement de 200 millions d’euros pour la 3e ligne de métro. Ce projet écologique au service de l’emploi viendra améliorer le quotidien de milliers de travailleurs, désengorgera le périphérique avec 90 000 véhicules en moins chaque jour et améliorera la qualité de l’air en desservant 200 000 passagers et 220 000 emplois. Cette réussite est à mettre en perspective avec les propos d’Antoine MAURICE qui, il y a moins d’un an, annonçait que les financements étatiques n’arriveraient jamais et qui, avec l’ensemble de son groupe, a toujours contesté ce projet. Contrairement aux pseudos « écolos », qui veulent vous imposer votre façon de vivre, nous restons résolument engagés en faveur du libre choix par chacun de son mode de déplacement.

Votre sécurité : une priorité de notre action

La Majorité municipale fait de la sécurité des Toulousains une de ses priorités depuis 2014. Après l’arrivée de 13 nouveaux Policiers Nationaux en début d’année, ce sont 28 nouveaux agents qui sont arrivés le 2 mai, et 70 autres d’ici fin 2021 au lieu de 2022 prévus initialement. Ce renfort est le fruit du combat de notre Majorité depuis plusieurs années pour la sécurité et la tranquillité de tous les Toulousains. De plus, notre Majorité a commencé à recruter une partie des 100 nouveaux Policiers Municipaux prévus d’ici 2026 pour doubler ainsi les patrouilles dans chaque quartier. Le déploiement de 100 nouvelles caméras de vidéo-protection renforcera un dispositif ayant encore prouvé, ces dernières semaines, son efficacité en permettant l’interpellation de trafiquants de stupéfiants, d’auteurs de vandalisme et de tags haineux. Rappelons-nous que l’Opposition – qualifiant la Police Municipale et le Maire de « Shérifs » – souhaitait stopper (« un moratoire ») la politique de sécurité communale au détriment de toute proposition ou action concrète. Rappelons ses grandes difficultés à condamner sans ambiguïté et sans invoquer de prétendues « circonstances atténuantes » les casseurs du samedi lors des manifestations illégales.

Les élus de la Majorité municipale Aimer Toulouse