Groupe Aimer Toulouse
Quand l’extrême-gauche perd ses repères
Début janvier, Fabien Roussel, le candidat communiste à la présidentielle, a déclaré que « Un bon vin, une bonne viande, un bon fromage : c'est la gastronomie française… »
Dans son propre camp, notamment chez les écolos, les réactions extrémistes n’ont pas tardé : ils ont hurlé au scandale, parlant d’appels du pied à la droite identitaire. Le très proche d’Antoine Maurice, « RaphGreen », a ainsi répondu au candidat à la présidentielle : « On a compris, tu es de droite, c’est bon maintenant ». Rien que cela ! Ni Antoine Maurice, ni Hélène Cabanes, ni aucun élu de l’Opposition municipale n’a pris la parole pour condamner…
Le pessimisme sinistre au coeur des convictions de nos opposants écolos
À l’occasion de ses voeux de début d’année, l’Opposition municipale écolo-mélenchoniste a détaillé ses souhaits pour l’avenir de Toulouse. Un avenir triste et terne qui fait malheureusement écho à ses positions en conseil municipal. Pour Antoine Maurice, l’ami de Sandrine Rousseau (candidate radicale à la primaire écolo), « les villes ne sont plus aujourd’hui des endroits où on peut toutes et tous bien vivre », décrivant notre ville comme « contraignante et étouffante ». Avec une telle vision de Toulouse, cet élu EELV ferait effectivement bien de se mettre au vert.
Pour des quartiers + tranquilles
La violence et l’insécurité sont des problématiques concrètes qui gangrènent trop souvent certaines de nos rues. Une violence jamais franchement condamnée par des élus municipaux d’extrême gauche lors de manifestations de certains groupes le samedi. Ce fut encore le cas en janvier dernier à Nantes où une manifestation violente a reçu le soutien d’un adjoint écologiste de la Maire de la ville. Face à ce défi sécuritaire, l’Opposition toulousaine s’échine à ne rien proposer d’autre pour la sécurité des Toulousains que l’arrêt du déploiement des caméras de vidéoprotection (« moratoire ») et un audit sur la politique globale de sécurité. La lutte contre la violence et l’insécurité mérite plus ! Elle mérite des actes. C’est pourquoi, au cours de l’année 2022, nous poursuivrons l’installation de caméras de vidéoprotection dans 7 quartiers de la ville (rue Boulbonne, Bazacle, place du Ravelin, route d’Espagne, chemin Lanusse, rue du 10 avril et impasse Trutat). Nous renforcerons la présence de la Police Municipale par des unités de quartier (La Faourette, Bagatelle, Tabar, Bordelongue, aux Arènes-Fontaine Lestang,…). Ces effectifs s’additionneront aux 88 nouveaux policiers nationaux arrivés à Toulouse depuis 1 an sur les 111 nouveaux policiers obtenus par Jean-Luc Moudenc avec le gouvernement.
Une ville + facile
Les élus écolos-mélenchonistes toulousains, adeptes de la critique facile et systématique, portent sur notre action une vision politicienne en total décalage avec la réalité.
Preuve en est les travaux que nous lancerons, au cours de l’année 2022, d’un nouveau restaurant seniors solidaire à Papus, du grand parc de Saint Martin, de la nouvelle base nautique à la Reynerie, l’ouverture dans le quartier Lalande du nouveau groupe scolaire rue Alphand et l’extension du groupe scolaire Olympe de Gouges. Ces mêmes élus, qui se disent défenseurs de la cause écologiste, passent également sous silence le jardin partagé de + de 2 500 m² à Bordeblanche ainsi que les plantations d’arbres rue des Casernes à Empalot, sur le site du stade Cazal à Croix Daurade ou encore le nouveau jardin à Bonhoure, que nous prévoyons pour cette année.
N’en déplaise à l’Opposition municipale, il s’agit bien là de l’action publique d’une ville ancrée dans le 21e siècle, qui préserve l’âme toulousaine.
Une vie + mobile
Les élus d’extrême gauche toulousains persistent et signent dans leur opposition à la 3e ligne de métro en qualifiant ce projet de « lointain, long et coûteux qui empêche de réfléchir à court terme ». Pour nous, opposer les grands projets aux solutions du quotidien est un faux débat. Ainsi nous inaugurerons le téléphérique Téléo et nous poursuivrons la construction du parking silo de 500 places à Basso-Cambo. Nous rénoverons également voiries, voies de bus et pistes cyclables sur l’avenue de la Reynerie, dans les quartiers Pont des Demoiselles (rues Dufour, Saget, Guepin et Vaucanson), Montaudran (rue Lespinet) et Barrière de Paris (rue Jules Verne), etc.
Les élus de la Majorité municipale Aimer Toulouse