Groupe aimer toulouse
La NUPES, une vision totalitariste de la société
"Aujourd’hui, ce qui peut nous sauver, c’est la radicalité", des propos de la Députée NUPES Sandrine ROUSSEAU démontrant une radicalité, assumée par la NUPES et ses amis, à l’image des élus municipaux d’opposition de Toulouse d’Archipel, qui s’inscrit dans une idéologie visant à mettre en place un système politique dans lequel l'État, au nom d'un dogme, exerce une mainmise sur la totalité des activités individuelles,. (Définition Larousse du totalitarisme)
Un totalitarisme qui s’invite dans nos assiettes !
Thématique estivale lancée par la même Sandrine ROUSSEAU : la virilité des barbecues. Un sujet qui a débuté par un propos sexiste de cette dernière : « il faut changer de mentalité pour que manger une entrecôte cuite sur un barbecue ne soit plus un symbole de virilité » agrémentant sa déclaration d’un sondage sur son compte twitter personnel : « bifteck ou planète ? ». Ouf ! 73% des participants ont choisi le bifteck. Si cette polémique peut prêter à sourire, elle est en cohérence avec la décision du Maire écologiste de Grenoble et proche d'Archipel, d’imposer à tous une nouvelle manière de manger en imposant le menu végétarien dans les cantines, alors que 94% des familles grenobloises sont contre. À Toulouse cela fait des années que nous avons des menus optionnels sans viande tout en respectant la liberté de choix des familles. Proposer une diversité de choix, oui, contraindre tout le monde, non !
Un totalitarisme qui s’oppose à toute mobilité
Vous le savez, nous sommes favorables au développement du métro avec la 3ème ligne, des bus avec les Lineo, de la mobilité entre quartiers avec le téléphérique Téléo, du vélo avec un budget doublé. Mais la NUPES, à quoi est-elle favorable ? À Toulouse, elle est opposée à la 3ème ligne de métro, à l’avion, à la Ligne à Grande Vitesse (LGV) pourtant techniquement nécessaire au déploiement dans la foulée d’un RER. À Lyon, elle invente les « pistes cyclables genrées » excluantes et elle s’oppose au projet de train Lyon-Turin. Un projet qui supprimera plus de 50% du trafic de marchandises et la pollution induite. Être contre tout est tellement plus facile pour justifier son inaction quand s’engager pour des projets demande de la concertation, du courage et du travail comme le pratique Jean -Luc MOUDENC.
Un soutien aux occupations illégales par des migrants clandestins
Alors que l’État est en charge des migrants majeurs et le Département en charge des migrants mineurs, les élus NUPES ont préféré attaquer la Mairie de Toulouse et soutenir l’occupation illégale des allées J. GUESDE, aujourd’hui heureusement révolue. L’engagement municipal sur ce dossier a été exemplaire avec la mise en place d’un projet social expérimental dans l’ex-Ehpad des Tourelles pour accueillir ces migrants. Une expérimentation qui s’est transformée en squat où les violences et les bagarres ont vite dépassées les associations. La NUPES a-t-elle choisi de saluer l’engagement municipal ? Non, elle préfère utiliser la misère humaine pour faire parler d’elle. À l’image du conseiller municipal d’opposition Archipel et nouveau Député NUPES, François PIQUEMAL, toujours davantage militant du DAL31, défenseur des squats illégaux, que Député de la Nation. Ce dernier préfère dormir sous une tente pour faire un coup de communication plutôt que de faire son travail de parlementaire que Jean-Luc MOUDENC a tenu à lui rappeler : « Le rôle d’un député, ce n’est pas d’inciter à piétiner la loi, mais de faire la loi ». Monsieur PIQUEMAL, si la loi ne vous convient pas, alors changez la et les élus locaux veilleront, comme toujours, à l’appliquer.
Un totalitarisme qui s’oppose à la valeur travail
C’est en substance ce que la NUPES semble défendre, à entendre Sandrine ROUSSEAU, Députée NUPES, qui a déclaré : « la valeur travail, c’est quand même une valeur de droite ». Le député NUPES toulousain Hadrien CLOUET lui a emboité le pas en rappelant qu’« accéder aux allocations peut constituer un vrai travail, qui prend plusieurs heures par semaine ! ». Face aux nombreuses prises de parole contradictoires, il serait temps que la NUPES nous explique vraiment ce qu’elle pense de valeurs aussi fondamentales que le travail et notre système de solidarité. Pour nous, l’une n’exclut pas l’autre. Nous agissons pour l’emploi avec notre Plan de Relance pour l’emploi tout en aidant ceux qui en ont le plus besoin avec notre Plan de lutte contre la Pauvreté. Leurs déclarations en disent long : vous voulez du travail ?
Ne votez pas pour la NUPES !
Les élus de la Majorité municipale Aimer Toulouse